lundi, janvier 26, 2004

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Froid croquant, soleil éblouissant, lumière aveuglante et neige scintillante…
Les congères glacées décorent mes fenêtres. Oh ! cher Hiver que tu es fort et grand ! Je suis prisonnière de ton humeur, captive de tes journées ensoleillées, je m’incline…

Survivre jusqu’aux beaux jours, travailler pour t’oublier, se perdre les idées ailleurs… J’attends le printemps qui viendra me libérer, me sauver ce moral que tu congèles de rafales en petits vents…

Merci quand même de me fortifier l’esprit en proie à ces conditions extrêmes, mais je te saurais gré de ne pas t’attarder trop longtemps…

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