Frissons de femme,
Je regarde Envoyé Spécial et je frisonne. L’islam m’angoisse. En tant que femme, en tant que future mère d’une future femme, l’angoisse me prend aux tripes lorsque j'y pense fort. Encore je fictionne ces étranges fantasmes qui retrouvent le fil de ma mémoire, zestes d'une histoire publiée au printemps dernier, en quelques pages de papier glacé, à remanier...
Des souffles de Charia en Ontario remontent à la surface de mes idées! Please!!!! Je crains ce radicalisme qui suinte de tant de pores humains. Masculins?
Ces silhouettes noires sans saveurs (grillagées) cachées sous des tissus sans formes me font presque peur. Impressions d'intolérance savamment arrangée. Je découvre cette image controversée qui n'arrive qu'à me faire doucement sourire. Conscience de blasphème en d’autres lieux, d’autres esprits. Prise entre pensées paradoxales et respect d'autrui...
Pauvreté, misère et promesses étranges d'une religion qui m'échappe mais qui semble faire toujours plus d'émules en notre bas monde. Des enfants enchaînés, les fers aux pieds, dressés à l’école coranique. Des petites filles sans avenir dressées pour obéir à des époux imposés. Un futur qui me fait frémir. La liberté d'exister bien imprégnée en moi hurle sa peine toute féminine…
Le pétrole finance l’Arabie Saoudite. Mais que finance donc l’Arabie Saoudite?
L’occident ferme les yeux, l’occident fait rouler ses moteurs, toujours plus gros, toujours plus puissants, engins mécaniques qui avalent l’essence toujours plus chère. L’essence qui fait la fortune de ces princes d’ailleurs. Or noir qui entrave l’expression féminine. Est-ce que Dieu peut être si dur envers ses petites filles qu’il regarde du coin de l’œil là-haut, au loin, quelque part dans l’invisible de nos vies? Ma conscience en doute fortement…
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