Tout en travaillant dur à regagner une santé digne de ce nom, j’élève ma puce en pleine croissance. Avec conscience, je m'adapte aux différentes étapes qui la grandissent.
Ensemble, l'on tisse ce lien qui nous unit. J'apprends à gérer de nouvelles émotions en cette aventure humaine de parentalité. Ma puce devient jeune femme.
Fière je suis de la voir s'épanouir en beauté et réflexions. Ressentir cette subtile mélancolie maternelle devant le temps qui passe. Devant l'enfance qui laisse la place à l'adolescence. Je retiens mon souffle tout en poursuivant cette voie maternelle qui me porte depuis sa naissance.
Je réfléchis en profondeur sur l'influence que tout parent possède sur sa progéniture. Alors que les influenceurs sociaux font la mode actuelle, je me concentre sur l'influence que j'ai sur l'enfant que j'ai mis au monde.
Beaucoup trop d'emphase est posée sur l'influence des popularités éphémères qui font les tendances modernes. Si peu est mis sur l'influence parentale qui façonne tout être humain. Qui le guide ou qui le hante lorsque devenu grand.
Ne devrait-on point se pencher davantage sur ce qui fait les richesses en nos cœurs plutôt que sur insatiables matérialités?
Se concentrer sur la puissante responsabilité d'élever un être humain qui deviendra grand. Et qui élèvera d'autres êtres humains en un futur insoupçonné.
N'est-il pas dit que dans la vie, l'on répète ou l'on répare?
Répéter n'est pas ma tasse de thé. Réparer semble être ma destinée. Réparer mon corps blessé. Réparer mon âme meurtrie. Grandir. Mûrir. Apprendre et comprendre. S'élever.
Élever un enfant, c'est aussi s'élever soi-même. Je répare. Elle m'élève.
Je te laisse un petit coucou!/bonjour! Bien contente de voir, des lunes plus tard, que le blogue sur la glace n'était pas dans un tiroir de la morgue! ;-)
RépondreSupprimerBonne réparation. (Je ne suis plus au courant de rien depuis que j'ai quitté fb sans regret il y a plus d'un an, mais peu importe ce que tu dois réparer, guérir, apaiser: je t'envoie de douces pensées.)
xx