L'hiver prend quartier…
Matin blanc comme neige, une fine poudre continue de tomber, farine du ciel qui soupoudre mon jardin endormi! J’avoue ne pas être vraiment prête! Y’a des années comme ça, où l’on a pas encore oublié la dernière hibernation, que déjà l'on doit se préparer à la prochaine…
C’est vrai que c’est joli la neige, surtout pour l’œil non blasé, mais c’est que l’hiver est si long! À part pour les amoureux de l’hiver, ces passionnés qui s’éclatent dans la glace et la neige, je pencherais pour croire que la majorité des gens ne voit pas tant arriver la neige et ses beautés que le rude hiver et sa longueur (inimaginable pour celui qui n'y a jamais goûté). Mais bon! Comme j’habite au Québec, et que ce n’est pas comme si je ne me doutais pas que je reverrais bientôt ce paysage de neige. Je me force le cerveau à accepter cette réalité familière, de toute façon, il y aura bien assez de temps pour se lamenter d’ici mai prochain, si ce n’est juin! Moment béni où je pourrais retrouver le vert calme de mon jardin…
Je chausse mes bottes de Yeti couleur d'hiver, j’allume ma main digitale et je pars, en jupe et sans collants (un zeste de rébellion dans le sang), jouer avec les flocons de plus en plus gros qui me mouillent le visage et me gèle le bout des doigts…
Matin blanc comme neige, une fine poudre continue de tomber, farine du ciel qui soupoudre mon jardin endormi! J’avoue ne pas être vraiment prête! Y’a des années comme ça, où l’on a pas encore oublié la dernière hibernation, que déjà l'on doit se préparer à la prochaine…
C’est vrai que c’est joli la neige, surtout pour l’œil non blasé, mais c’est que l’hiver est si long! À part pour les amoureux de l’hiver, ces passionnés qui s’éclatent dans la glace et la neige, je pencherais pour croire que la majorité des gens ne voit pas tant arriver la neige et ses beautés que le rude hiver et sa longueur (inimaginable pour celui qui n'y a jamais goûté). Mais bon! Comme j’habite au Québec, et que ce n’est pas comme si je ne me doutais pas que je reverrais bientôt ce paysage de neige. Je me force le cerveau à accepter cette réalité familière, de toute façon, il y aura bien assez de temps pour se lamenter d’ici mai prochain, si ce n’est juin! Moment béni où je pourrais retrouver le vert calme de mon jardin…
Je chausse mes bottes de Yeti couleur d'hiver, j’allume ma main digitale et je pars, en jupe et sans collants (un zeste de rébellion dans le sang), jouer avec les flocons de plus en plus gros qui me mouillent le visage et me gèle le bout des doigts…
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