Remarquer que sur les six voitures qui attendent des enfants, trois sont conduites pas des pères. Sourire.
Et se dire que c'est sûrement un signe des temps, un signe d'égalité des sexes...
Voir gambader ma gazelle joyeuse. En route vers la maison elle me demande:
- Mais maman c'est qui Gavroche? Pourquoi le chaton tu l'appelles Gavroche?
Pour la petite histoire, en processus d'adoption de chaton, on a visité un mâle chez une amie qui m'a remis Gavroche en tête...
Avec cette question s'ouvre une dimension de mémoire oubliée. Enfouie au creux de mon vécu. Je lui parle de Victor Hugo et je lui raconte l'histoire de Gavroche. Dans la foulée je fais une recherche web et tombe sur cette chanson et bang!
J'ai 8 ans et je me souviens de combien j'aimais cette chanson et combien je l'ai écouté en boucle! Combien les paroles me reviennent en tête. Et revient alors cette lointaine habitude. Au bout de la septième fois qu'on l'écoute, elle s'exclame:
- Encore?
- Allez, encore une fois, j'adore cette chanson!
- Maaaamaaannnn... okay...
De quoi s' en faire un vers d'oreille! Et l'on reprendra le chemin de l'école en chantonnant en chœur: "Je suis tombée par terre, c'est la faute à Voltaire. Le nez dans le ruisseau, c'est la faute à Rousseau..."
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