Je réalise ainsi que la parentitude est comme une pelle avec laquelle on peut se creuser l'intérieur.
Et puis, tant qu'on y est, pourquoi ne pas faire de la spéléologie interne? Histoire de se dépasser un coup. Après tout être parent n'est-ce-pas aussi passer par dessus soi?
Armée d'une lampe frontale partir en exploration existentielle. Descendre des gouffres. Ramper dans des couloirs obscurs. Apercevoir quelques chauve-souris. Nager dans des rivières limpides. S'émerveiller devant quelques stalagmites. À moins que cela ne soit des stalactites?
Et enfin, après maints efforts, découvrir ces grottes mystérieuses remplies de trésors insoupçonnés...
J'aime ton parallèle avec la spéléologie! Ce qui est sûr, c'est que la "parentitude" t'inspire bien des images poétiques! :)
RépondreSupprimerAprès un travail intense de remise en question profonde, je ne peux que me reconnaître dans ce parallèle.
RépondreSupprimerPour ma part c'est douloureux, mais je me réveille mère, pour la première fois dans mes tripes.
Céline, c'est vrai que la parentitude m'offre une mine de réflexions, tant mieux si elles sont poétiques :)
RépondreSupprimerBlandine, ah oui, j'avoue que tu m'intrigues beaucoup avec ce commentaire, ah que j'aimerais en parler avec toi autour d'un café sur une terrasse parisienne! ;)
Mais un jour ce café sera ! Nos bambines joueront ensemble à s'inventer mille vies et nous nous raconterons les nôtres
RépondreSupprimer