Blogueries et compagnie...
Bon et bien voilà après moult années de blogue, mon premier vrai troll! Ma foi pas le plus méchant de la gang (de cela j'en suis toujours reconnaissante) puisque ses commentaires possèdent une certaine dose surréaliste (voir billet précédent) qui ne font que polluer l'atmosphère sans vraiment l'envenimer.
N'empêche au bout d'une douzaine que j'efface, je commence à perdre légèrement patience. Je n'ai jamais eu besoin de modérer les commentaires de ce petit coin virtuel, vais-je devoir commencer?
Ceci me fait penser qu'en bientôt six ans de blogue, j'ai toujours eu des visiteurs respectueux, des esprits bienveillants qui ont enrichit mon jardin de mots de leur essence humaine. Aussi à vous qui venez lire mes mots éparpillés, je vous remercie chaleureusement de votre passage et de vos signes de vie.
À ceux qui arrivent ici par hasard, je veux croire que si vous n'avez rien à y faire de bon, alors vous fermerez rapidement cette fenêtre pour irez voir ailleurs ce qui s'y passe...
À ceux qui viennent souvent, lecteurs fantômes que je ne perçois que du bout de mes statistiques, j'aimerais croire que vous appréciez l'endroit pour y revenir régulièrement. Votre silence ne me gène pas, en soi la lecture est passive. L'interactivité n'est en fait qu'un aspect de ces nouvelles virtualités. Je sais que les mots, une fois partagés, n'appartiennent plus à l'auteur. Une fois écrit puis lu, le texte public devient propriété du lecteur. Celui-ci se l'approprie du regard et l'interprète selon ses propres termes.
Je me sers aussi de cet outil un peu comme d'un "gym mental". J'y trouve une discipline. J'y fais toutes sortes d'exercices. À moins de comparer l'endroit à une cuisine où je popote mes sauces. À moins que cela ne soit une sorte de vitrine où j'expose certaines choses. À moins que cela soit une fenêtre où mes amis et famille peuvent venir prendre le pouls de mes jours. Le blogue est comme une anguille, il glisse entre les doigts. Le blogue est multifonctions, multi-services. C'est, à mes yeux, ce qui fait son charme. En six années de blogosphère, j'ai surfé quelques vagues de popularité et j'en ai vu passer des modes et des tendances. Tout comme j'ai vu passer maints lecteurs, plusieurs ont commenté pendant des semaines, parfois des mois même des années, avant de disparaitre dans le néant virtuel. Au début, l'on s'attache davantage et l'on ressent un petit serrement de coeur lorsque l'autre s'efface. Et puis l'on s'y fait et l'on comprend que cela fait tout simplement partie du jeu. S'enthousiasmer puis se lasser est tellement humain. Il ne faut point s'en offenser.
Avec le temps, l'on devient plus philosophe et je me demande si l'on apprend pas à cultiver une certaine indifférence. Pourtant c'est toujours plaisant de voir apparaitre un esprit connu ou inconnu en cet espace invisible, un esprit au loin qui prend le temps de pianoter quelques mots de clavier partagés. Et puis il y a ceux qui sont là depuis des lustres, certains vont et viennent, d'autres prennent l'habitude de s'installer les idées en mon banc de commentaires, ceux là peuvent devenir des amis invisibles, ceux là font partie de ma famille bloguesque.
Tout comme je suis de nature fidèle, j'ai l'impression que ce qui me touche le plus sont ceux qui font preuve d'une certaine fidélité, ceux qui s'inscrivent dans le temps en ma compagnie virtuelle. Ceux-ci rentrent littéralement dans mon coeur et même s'ils finissent par s'évanouir, je continue de les garder précieusement en mes sentiments. Le blogue est un drôle d'animal. C'est un concept moderne que l'on apprivoise graduellement. J'apprécie le coté bistro qui permet de rencontrer l'autre, de faire connaissance et parfois de franchir la barrière virtuelle pour se découvrir au réel.
Je réalise aussi que je ne commente plus beaucoup non plus. À mes débuts de blogosphère, dans l'adolescence de la chose, en cet univers étrange où l'on se découvre, une certaine effervescence a lieu et l'on trouve plein de choses à dire. Et puis avec le temps l'on blase un peu, l'on mûrit. Même si je fais mes tours réguliers de blogosphère, je me fais moi-même de plus en plus fantomatique, je parcours sous couvert les humeurs blogosphèriques et je ne laisse plus beaucoup trace de vie. J'en ramasse pourtant des cailloux que je transporte par ici. Peut-être aussi que je vieillis, comme chaque année, le premier janvier prochain me donnera une année de plus, 36 ans...
Avec le temps, j'ai appris à prendre ma "vie virtuelle" avec un grain de sel. J'ai commencé ce blogue avec mes trente ans. En mon idéal, je le nourrirai jusqu'à mes quarante. Peut-être aurais-je l'occasion de voir naitre un autre petit être d'ici là. Avec le temps, je me sens en contrôle de cet espace particulier, cet endroit que je maitrise de mes phrases et images. J'envole mes mots selon mes normes, selon mes règles intérieures, selon la vie qui "m'évolue"...
Mon défi personnel: Une décennie de blogue (presque un siècle d'existence virtuelle). Si les chats vivent sept ans en une année humaine, une année de blogue en vaut bien dix à l'échelle quotidienne. D'après ce que j'en sais la durée moyenne d'un blogue personnel (qui tient la route) est d'environ deux-trois ans. Il y en a une ribambelle qui ne tiennent pas six mois et il y a cette espèce qui est mienne, une espèce virtuelle qui se fait un cocon de Toile et n'en déloge plus...
long temps pas vu, tiens donc, c'est nettement plus facile te lire ainsi, mets au moins la vérification des mots, sinon autre chose.
RépondreSupprimerquand j'ai eu, un ou deux fois j'ai répondu puis j'ai fait comme il ou elle n'existait pas: cela est la pire finalement pour eux!
Je te supporte virtuellement pour tes 10 ans de blogue. J'y serai fidèle? On sait déjà que je n'y suis pas depuis le début, mais depuis ces mots, je me suis un peu attachée, quand même!
RépondreSupprimerCoucou JUlie, depuis que je n'ai plus de Mère-Grand, tu es un peu ma virtuelle! J'espère que tout va bien de ton coté de l'océan. Je suis bien d'accord avec toi l'indifférence est certainement la solution la plus sensée, c'est aussi celle que je pratique d'habitude. Mais là du coup, j'y suis allée pour m'en inspirer en la construction de ce billet! ;)
RépondreSupprimerSof, c'est gentil, bah, la fidélité c'est toujours relatif en cet univers virtuel! ;) C'est un autre aspect qu'il faudrait que je désenveloppe un de ces quatre, car c'est vrai que l'on s'attache parfois même malgré soi, sans trop s'en rendre compte, parce-que s'attacher est aussi un élan plein d'humanité... ET finalement le virtuel ne fait que refléter nos humanités...
J'aime bien ta philosophie!
RépondreSupprimerPerso, je me suis attaché à quelques âmes bloguosphériques à qui je voue une grande amitié virtuelle. Parce que les visions, les pensées, les mots m'accrochent, me font réfléchir. Tu sais déjà que tu en es. Je n'y suis que depuis deux ans dans cette jungle, et je ressent une petite écoeurantite par rapport à ce qui s'y passe de temps en temps, mais bon, je dois trop m'égarer, j'imagine.
Si je compte bien, ils nous restent donc quatre ans? Je vais les prendre, avec plaisir!
Y a toujours des "tatas" qui passent et qui ne savent pas quoi faire de leurs dix doigts. Au moins, la chose ne se produit pas trop souvent. On est chanceuses dans notre petit monde.
RépondreSupprimerJ'apprécie de venir te lire de temps en temps même si je ne laisse pas toujours des commentaires. :)
Bonjour,
RépondreSupprimerPetite nouvelle ici compte tenu de l'âge vénérable du blogue ;)
Mais j'y trouve un petit cocon de mots agréable et inspirant. Merci pour ta gentillesse !
10ans...
RépondreSupprimerJe pense que je te suivrais jusque-là, voire plus loin...
J'en suis à deux ans de mon côté, c'est déjà beaucoup je trouve mais je n'ai plus la "frénésie" des débuts (un voire deux messages par jour).
Je sélectionne plus mes sujets, disons...
Bref, j'espère quand même revenir par chez vous avant cet ultimatum des dix ans!
Bises à vous 3!
Je fais partie de ceux et celles qui te lisent depuis que je fais un blogue moi-même (à savoir seulement plus de deux ans et demie !) et qui ne commente que très exceptionnement finalement, parce qu'en réalité, si je voulais commenter tout ce qui m'émeut, me touche, ou simplement me faire réagir, je crois que je ne me lèverais jamais de ma chaise, ne dormirais jamais, ne nourrirais pas mes enfants non plus ! :-)
RépondreSupprimerPour les trolls, j'ai pour principe de ne pas dire que j'efface, et effacer. Je reste seule juge, et je crois que dans la psychologie du troll il y a cet appel de l'attention qui se nourrit de l'attention qui lui est donnée. J'ai eu mon baptême du troll moi aussi, et j'ai commencé par patiemment mettre hors ligne sans en parler, et le troll s'est lassé avant moi.
Il m'arrive moi aussi d'être parfois frustrée de ne pas susciter les commentaires de mes visiteurs, pressentis par le biais de ces statistiques presque anonymes, qu'il faudrait vraiment éplucher si je voulais retracer précisément les petits passages parfois furtifs, ou au contraire quelques fois si approfondis que je me demande si le lecteur reviendra après avoir fait une exploration méthodique de dix ou quinze pages !
Mais comme tu le dis, il faut apprendre à vivre avec ce don de nos pages, fait sans demande de retour obligatoire, même si parfois, l'absence de feedback peut alimenter la désaffection ou la difficulté à continuer à écrire, quand les choses sont plus difficiles en dehors du monde virtuel ou du monde des octets.
Attention, y'a un gros troll poilu et griffu qui vient de sauter sur mon clavier... oh, oh... c'est une trollette, on dirait... et elle fait des drôles de bruits... ...miaou? Allez, je te l'envoie quand'même, le message de ma trollette :)
RépondreSupprimerPas grave si tu modères tes commentaires du moment que l'on ait le plaisir de te lire au moins 4 années de plus.
RépondreSupprimerMijo, c'est sur que s'il revient il va partir directement au oubliettes, enfin il est pas non plus collant, il semble avoir de sporadiques élans!
RépondreSupprimerDr Caso, ah t'es une bien mignonne trollette! :) Attention Henri le chat va vite te léchouiller...
Otir, j'avoue que je suis toujours un peu surprise de savoir que l'on me suit de loin en silence au fil des ans. Je comprends ceux qui ne commente pas, d'ailleurs en confidence, je vais aussi souvent par chez toi en silence! ;) Certains disent que les commentaires sont essentiels aux blogues, je n'en suis pas si sure, je pense qu'il font partie intégrante de l'outil, qu'ils sont importants même je pense qu'ils vaut mieux ne pas trop compter dessus. Coté statistiques, l'outil que j'ai est rudimentaire mais il suffit pour voir que passent des gens sur mes mots, ensuite ce qu'ils en font n'est plus trop de mon ressort, tant qu'il n'y a pas de malice bien sur... Car je crois vraiment qu'il y a une notion de don au concept du blogue. Mais c'est vrai aussi que par le biais de la blogosphère, l'on peut faire des rencontres qui enrichissent la vie au réel...
Lulu, t'es fine, c'est vrai que je te considère parmi les fidèles (te voir disparaitre me ferait un peu de peine), tu es entrée dans ma famille bloguesque et tu as franchi la frontière entre le réel et le virtuel. En tout cas, il me fera plaisir de t'emmener voir le lac sous le soleil! ;) C'est sur qu'avec le temps, à force de bloguer, l'on finit par mieux cibler nos sujets et encore là, tout reste possible...
Morgane, c'est vrai que si j'y pense, tu es un peu la petite nouvelle! :lol: La sang frais fait toujours du bien! ;). Merci de tes signes de vie. Au plaisir des mois à venir...
Looange, tu fais maintenant partie de ma famille bloguesque, me semble que cela fait des lustres que je te connais virtuellement! :lol: Cela me ferait un petit pincement au coeur de ne plus te voir passer par là...
Yano, mon cher Yano, cela me fait toujours plaisir de te voir popper là, un peu de testostérone en mon monde femmes, c'est agréable. L'amitié virtuelle, c'est un concept moderne mais tout à fait réel. J'avoue que tu commences à pénétrer mon cercle virtuel, cela faisait un petit bout que je ne t'avais pas aperçu et je me demandais si tu rodais encore par là! ;) J'ai quand même l'impression que j'ai un style de blogue qui est encourage une lecture plus passive qu'active, c'est peut-être inconsciemment un choix... Je dois avouer que dans la jungle virtuelle, je ne me suis jamais faite mordre, mais d'un autre coté, j'ai tout un sac de précautions que je jardine en mon invisible. Je crois pouvoir tenir encore quatre ans. Ce blogue évolue avec moi mais il reste un bon exercice de mémoire en plus de donner un terrain d'écriture très intéressant...
Merci à vous tous de participer à cet endroit virtuel, car malgré tout lorsque quelques voix se distinguent du néant virtuel, cela réchauffe l'âme et le coeur! Dans le fond ce troll m'aura inspiré du bon...
Merci de votre soutien quant à la continuation de cette "discipline". J'espère que lorsque viendra le moment que je ferme boutique, vous n'aurez pas tous disparus dans les limbes virtuelles! ;) À très bientôt pour d'autres mots (et images) partagés...
Il y a longtemps que je te lis....bien caché derrière mon écran. La toute première fois j’étais au stade K O livré à mon lit à pleurer sur mes maux. Et tu es apparu au hasard d’une tournée de clavier et j’ai apprécié ce soleil qui est tienne enrobé de tes mots qui me furent oublié mes maux. Puis comme une drogue j’ai fini par être dépendante de certains passages sporadiques sur ton blog. Pourquoi n’avoir jamais laissé de commentaires? Parce que te raconter que mon fils est devenu étoile filante alors que ta fille est un rayon de soleil….aurait mis des nuages devant toute la beauté de l’enfance de tes entrailles. Tes tournures de phrases ont souvent été ma doudou de la journée me permettant de sentir la chaleur sans la douleur. Ses petits vidéos parfois représentait des fous rires que je n’entendais plus… Je vous souhaite la plus belle des fins d’années…..et j’ose espérer que chaque bise dévoilé a la volé par ta douce princesse t’apportera toujours cette belle sérénité qui se lis par tes lignes. Merci infiniment….un petit fantôme qui t’apprécie beaucoup!
RépondreSupprimerVéronique xxxxxxx
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
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RépondreSupprimerun blog bien sympa que je viens de découvrir
RépondreSupprimerje vais revenir le lire de manière plus approfondi
http://www.poesie-citation.fr/
Allo Véronique,
RépondreSupprimerJ'ai supprimé les doublons! ;)
Tout d'abord merci de partager ces mots qui me touchent énormément. Ceci me fait garder confiance en la magie de Toile...
Je suis sincèrement désolée de ta perte. Je ne peux qu'en imaginer la douleur. Perdre un petit, je crois que c'est la pire des épreuves à vivre. Si mes mots ont pu t'apporter cette douceur qui adoucit la douleur, alors j'en suis vraiment heureuse. Ceci me dit que cela vaut la peine de partager des petits bouts de vie par ici. Qu'il ne faut pas se laisser enfermer par la peur des pervers et se concentrer sur nos lumières intérieures. Je dois avouer que plus Lily-Soleil grandit et plus je fais attention à ne trop l'exposer même si tout cela est bien relatif en ce contexte. Mais disons que pour une photo ou video partagés en public il y en a dizaines en coulisses! Je vais essayer d'en trouver une à mettre par ici bientôt! ;) C'est vrai que la beauté de l'enfance me semble infinie et que souvent je m'y plonge en compagnie de mon petit soleil. Je sais la chance que j'ai de l'avoir. J'espère que ton coeur recolle ses morceaux blessés...
J'avoue que depuis quelques mois, je titille l'idée d'un recueil de textes "d'enfance-maternitude". J'ai beaucoup de matériel sur le sujet. Qui sait...
Merci de tes mots gentils qui allègent mon esprit mystérieuse fantomette, :) Je te souhaite aussi de passer une belle période de fêtes. Mes sincères pensées...
@ Anonyme (ou est-ce Véronique?), merci pour le lien :D Justement je pensais à poster quelques citations car le temps qui file avale mes mots journaliers qui se gribouillent sur des bouts de papier en attendant de se ranger par là...
ALORS, A QUAND UN NOUVEAU LYNCHAGE NUMERIQUE, MINABLE CONNARD DE FLIC, ORGANISE POUR " SORTIR DE LEUR BOITE DES GENS " QUI AURAIENT BESOIN D UNE BONNE LECON PARCE QU'AYANT DÉPLUT A CE GROS LACHE DE SI PEU PRESIDENT QUI S EMPÊTRE DANS SA PATHOLOGIE, MEUH ?
RépondreSupprimerhttp://embruns.net/ aka- Merci de votre commentaire. -Il a été bien enregistré et sera publié prochainement après validation.
Le signifiant perversion donne souvent lieu à de nombreux malentendus. Issu du vocabulaire moral et même ecclésiastique, il garde le plus souvent cette connotation de condamnation morale dans le discours courant. Les variations d'acception et même les luttes idéologiques qui sous-tendent les différentes perceptions de la perversion montrent que cette notion est un enjeu important qui agit comme un indice de la valeur sociale qu'accorde la société, à un moment donné, à la sexualité. Certaines pratiques considérées autrefois comme perverses par le discours moral, sont aujourd'hui communément admises, on en verra des exemples plus loin
Le pervers pense, associe, utilise des comportements de mentalisation. Il s'est sauvé de la psychose et de la psychopathie en construisant lui-même sa loi. Il cherche la justification de la loi dans la raison, et ne l'écoute que dans ce qui l'arrange. Il démontre tout le temps qu'il a raison, et soutient que la loi a une essence rationnelle. Le pervers n'est pas coupable, mais aura quelquefois honte. Le père était trop prévisible. Le pervers n'est pas aussi instable que le psychopathe et peut se contenter des bénéfices d'une relation durable. Il est auto suffisant. Un pervers a eu une hyper stimulation, un bombardement de stimuli qu'il n'avait pas la possibilité de traiter par voie mentale. Il survit à des traumatismes relationnels trop précoces. Le pervers a aussi une confrontation à la loi ainsi qu'une organisation à part qui ressemble à l'état limite. Deux notions importantes chez le pervers: enfant qu'on n'a pas respecté, et composante abandonnique.
Cher Anonyme, je devrai presque vous remercier pour cette exemple qui illustre l'inspiration de ce billet. Pour l'exemple donc, je ne l'effacerai point. Cependant ce sera le dernier qui passera même si pour cela je dois enclencher la modération de commentaire. Ainsi ceci est le dernier exemple de votre prose. Tout autre exemple de ce type sera détruit de mon coin virtuel sans autre forme de procès.
RépondreSupprimerJ'apprécierai certainement votre départ mais comme l'on ne peut se casser la tête sur ce qui est hors de notre contrôle et il me sera facile désormais de simplement effacer vos passages car ceci est tout en mon contrôle... Pervers ou psycho, je sais pas trop, je vous souhaite une vie meilleure pour l'année à venir. Au plaisir de ne plus vous lire..
tiens anonyme est passé par chez moi sous le nom de nina avec les même mots exactement. Je n'y comprends pas grand chose. ça me laisse froide.
RépondreSupprimermerci pour ton mot...ton anonyme Véronique sourire....qui recolle chaque partie de sa vie. Tu sais ma mère dit toujours qu'on a le deux choix pour chaque facon de réagir, la bonne ou la mauvaise....j'ai choisi la bonne et me suis entouré d'enfant en famille d'Acceuil, vendu ma maison pour une plus grande et rempli toutes mes chambres de petits délaissés...je prend ceux que plus personne ne veux...des carences affectives grande comme le monde...et des difficultés à la hauteur du ciel....et le sourire est revenu...et la vie continue.....et ton anonyme manque de temps pour passé aussi souvent mais elle se plait dans cette nouvelle vie
RépondreSupprimeravec tendresse Joyeuses fêtes!!!
Véronique l'anonyme!hihihi
Allo Véronique, cela me fait plaisir de revoir en mots par ici et quelle histoire! Que de coeur. Merci de la partager avec ma pomme au loin. Elle donne envie d'en savoir davantage! ;) Alors tu vas avoir un Noël bien animé! :D Mes meilleures pensées...
RépondreSupprimerJe suis là depuis le début, je me souviens qu'en effet tu commentais beaucoup, c'est ce qui m'avait intriguée: "mais qu'elle est cette drôle de fille, allons voir chez elle" et je suis restée. Comme toi je ne commente plus que très rarement, mais j'ai refait récemment le rêve où je viens te voir et je marche sur ton lac gelé :D
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