Je ne plie guère devant le Dieu Argent. Je me prosterne peu devant l’autel de la banque. Sans désirer manger les pissenlits par la racine à perpétuité, je souhaite (comme tous) un confort à mes jours. Mais mon obéissance à cette puissance divine devant laquelle je me plie, si difficile à discerner, tant impossible à matérialiser, semble fondée sur des principes étrangers au culte de l’Argent et se relie tout simplement au culte de l’Amour et de ses dérivés…
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