Cou bas...
Cette peinture de Degas soulage mes maux de cou. C'est étrange, c'est un peu n'importe quoi, mais c'est comme ça! C'est un soulagement intérieur, la douleur reste la même, et pourtant...
Les bienfaits invisibles de la peinture qui traversent le temps et mon écran. Je n'y comprends rien moi-même, tout est dans le mouvement du corps, cela touche une fibre abstraite de mon cerveau. Cela se passe en cet inconscient qui m'échappe trop souvent. So i just go with the flow, je regarde cette femme s'essuyant le cou et je laisse aller cette douce chaleur qui m'envahit le coeur...
Cela n'a ni queue, ni tête, yep i know! Mais sans le cou, de toute façon, il n'y a plus ni queue, ni tête! Cependant il me reste Alexandre le Grand! Alexandre et ses épopées guerrières si lointaines, Alexandre et mes mots si proches, Alexandre et cette traduction qui s'achève...
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