samedi, avril 12, 2003

Voila, c'est mon premier blog! (Enfin deuxieme version, le temps d'assimilation et erreurs courantes de depucelage)
Je commence, moi aussi, ce périple cybernetique étrange...
Pour les mots d'abord,
Pour ecrire ensuite...

Je n'ai jamais reussi à tenir un Journal Intime...
Trop intime...

J'entre dans ce monde inconnu, vierge, novice, je vous offre ces mots et ouvre une porte a l'interieur de mon esprit...
Que les Dieux nous protegent... (Sans accent, car ceux-ci ne semblent pas exister en ces lieux...)

Oui en effet,il semble que ces lieux soient impermeables aux accents qu'ils soient vocaux ou ecrits!!!
Alors que les amoureux de la langue ne s'offusque point de ce manque a la grammaire... :)
Ici bas, pas à ou de è, encoremoins de é ou de où...
Si quelqu'un a une solution a ce probleme je suis toute ouïe...
_________________________________________________________________________________________________________

RÉARCHIVAGE DE MARS!
Le 14 mai, j'ai eu du trouble avec mes archives...
Alors tannée de me frapper la tête contre les murs informatiques, j'ai choisi de les remettre ce jour là, puisque ce jour semble épargé par le problème...

Alors voici le mois de mars que je réarchive!
...

____________________________________________________________________________________________________________
Mars 2003

Péché Salé

Il regarde par la fenêtre, devant lui s’étend l’océan qui fulmine contre les rochers escarpés. Un ciel sombre, orageux, pèse sur cet hôtel égaré au milieu des landes….

Elle regarde le plafond, il est jaune pinson vieilli, inondé d’une mer de minuscules pétales bleues. Elle se perd dans cet étrange ciel étoilé qui semble voguer au dessus de son corps dénudé. Le lit est un navire, il est le vaisseau de ses divagations, son quatre mats qui se balance au rythme de ses pensées. Son regard fuit l’homme adossé à la fenêtre, elle se replonge dans sa galaxie intérieure.

Le silence s’installe entre eux et s’accorde avec l’atmosphère brumeuse qui semble noyer ce petit hôtel surplombant l’immense falaise aiguisée par le temps et ses marées….

Elle se décide à regarder cet homme qui l’obsède et la hante. Même après l’amour, il reste cet inconnu qui s’échappe, étranger à sa vie comme un rescapé échoué à ses pieds un soir de tempête.
- À quoi tu penses ?

La question, surgissant du silence flotte dans l’air, elle se promène entre eux, elle s’envole, elle s’évade, et s’évapore dans le temps.
Il se retourne, il la regarde longuement, intensément.
- À toi….
- Vraiment ! Tu penses à moi ?
- Oui, il se tait quelques secondes, respire profondément. Oui! je pense à toi. J’imagine ton corps nu, superbe, là-bas, en bas, je l’imagine sanglant, déchiqueté, fouetté par les vagues énormes qui le poussent et le repoussent contre les couteaux tranchants de la roche aiguisée….

Elle lève la tête de son oreiller, surprise, interloquée, elle hoquète un « comment » qui s’étrangle dans sa gorge.
- Pardon ? Tu peux répéter là, j’ai pas bien compris…

Il s’approche d’elle lentement, son visage semble être sculpté dans un marbre dur et froid. Une lueur phosphorescente, énigmatique, illumine ses pupilles dilatés, il se rapproche…
- Tu m’as bien entendu, je viens de te confier le fond de ma pensée, tu as entendu l’idée exacte qui me trottait dans l’esprit au moment de ta question, tu…
- Mais, t’es un malade ! Tu peux, tu peux pas me dire un truc pareil et tu…
- Je quoi ? Je peux pas te dire un truc pareil après la baise fantastique que l’on vient de se payer ? Ou je peux pas te dire un truc pareil et te laisser quitter cette chambre ?

Il sourit. Mue d’un réflexe primal, elle se précipite vers la porte. Trop tard, il l’attrape par les cheveux, il enserre son cou fragile de ses mains larges et rudes.

Trop tard, elle sent déjà s’enfuir cette vie qu’elle aime tant. Une obscurité commence à l’envahir toute entière, elle l’avale imperceptiblement. Elle s’affaisse mollement sur le tapis. Son âme décolle. Elle flotte rapidement vers d’autres lumières, d’autres instants. Elle vole vers cette lueur, là bas, au loin, qui l’appelle…

Doucement, il prend son corps délicat dans ses bras. Il ouvre les deux battants de l’immense fenêtre, et d’un long mouvement, il la lance par la fenêtre ouverte...
Il suit du regard ce corps qui plonge, il le regarde se fracasser, au loin, contre les rochers. Il l’observe quelques minutes jusqu'à ce qu’il soit emporté par l’écume des vagues. Il ferme la fenêtre tendrement. Il sourit au reflet de son image dans la vitre embuée de cette lointaine chambre d’hôtel.

______________________________________________________________________________


- Etolane ?
- Humm !
- Etolane ?!?
- Quoi ! J’ai pas envie, je le sais mais ça me tente pas, pis c’est la faute du temps pourri de mes deux ! Alors lâche moi. Pleeeeaaaase…

L’esprit du ménage se gratte le front, fronce ses sourcils invisibles et d’un air désemparé vole tristement par la fenêtre ouverte…


Même si le gnou mange l'herbe, elle continue de pousser.
Proverbe congolais

Nous devons apprendre à respecter la vie sous toutes ses formes : il ne faut détruire sans raison aucune de ces herbes, aucune de ces fleurs, aucun de ces animaux qui sont tous, eux aussi, des créatures de Dieu.
Théodore Monod. Naturaliste français

Il ne faut pas craindre de laisser notre esprit paître un peu, chaque jour, des herbes narcotiques dans les champs illimités du rêve.
Jules Renard
Extrait de son Journal 1893 - 1898

Immobile, assis sans rien faire, le printemps vient, l'herbe pousse.
Sagesse chinoise



La nuit tombe, froide comme l'hiver...
Mais c'est juste une impression, même si j'ai le corps qui grelotte!!!

Il est fini l'hiver! Kaput! Mort! Écharpé sous les feux du soleil ardent de midi!!!
La preuve: il a fait super beau aujourd'hui, les oiseaux ont chanté et le soleil a brillé fort, fort… La neige a presque toute fondue, la terrasse délivrée de ses murs de glaces s’est offerte à cette chaleur qui vient du ciel…
Et le plus cool dans tout ça? Les odeurs retrouvées…

Bientôt l’on pourra se rouler dans l’herbe verte, se bercer lentement dans le hamac mauve, se faire dorer la pilule tout l’après-midi, et faire l’amour au coin du feu bleuté sous la voûte étoilée d’un été humide, torride, incandescent, …



Tomorrow is my last exam...
I'm extatic, i wanna dance on a table, but wait! Gotta go to bed first.... Ain't over yet!!!

Si votre regard lit ces quelques mots, goutellettes humaines égarées en ce lieu fantasque, ne vous échappez pas dans le gouffre de la visite furtive....
Take a moment, don't judge me too harsh, i'm just another human trying to find a voice, some words to share, it's my humanity that i to let flow into this cyber reality. It can be hard sometimes to makes good sentences... Trust me, it's a challenge!
Laissez voguer votre imagination...
Pis faites moé signe, soyez pô timides...


FICTION - RÉACTION


Tout au long de l’année le Cercle d’écriture organise des ateliers d’écriture. Lors du dernier en date, animé par Pierre-Luc Lafrance, j’ai écrit ce qui suit…

Les ateliers d’écriture ont un effet d’automatisme sur mon cerveau. J’essaie à chaque fois d’y aller avec le cerveau vierge comme la page blanche de mon cahier, c'est pas évident…
Et je sais jamais ce qui en sortira, ça c'est trippant…
C’est ce qui rend le processus intéressant.
Ce soir là, le thème était le dialogue et le décor: une chambre d’hôtel…
J’ai examiné avec le recul en retranscrivant ce texte cette vision qu'il évoquait en moi. C'est drôle et toujours étonnant de voir ce que l'esprit peut produire sur le vif...
Mais vous avez-vous compris le fin mot de l'histoire ?
Je vous invite à me donner vos avis sur le sujet. Compliments, insultes :( , analyse de fond, quelconque intérêt?



L'esprit du ménage est revenu.
Il a attaqué Juan, si,si, je l'ai vu!
Et depuis c'est le paradis.

Ou c'est peut-être Cupidon qui l'a piqué, mais lui je l'ai manqué!
Devant mon air misérable et ma petite mine de fin de session d'écoeurite aiguë, il a pris le taureau par les cornes, ou plutôt l’aspirateur par le tuyau, et s’est mis à la tache…
Y’a des jours comme ça ou j’l’aime gros mon homme !
À moins que ce ne soit le petit esprit à qui je dois dire merci…


J'ai fait le test religieusement, ce petit test, bien innocent qui me dira quelle chanson de Tori Amos je suis...
J'ai trouvé ça sur le blog d'IokanaaN via L'oeil de Mouche ...
Puis voilà le résultat: i'm kind of baffled, enfin aprés ma micro-nouvelle ci-dessus...
Next, je teste Juan!

Father Lucifer

-Father Lucifer-
You're "Father Lucifer"
from the "Boys for Pele" album. You
make no sense, although some of your lines
would infer that you're a love song. But
actually no one knows. You're a good song, but
very confusing. "How's your Jesus Christ
been hanging..?"


I guess i'll try to reach back to my music logs, and find that song.
I love Tori, but i've some trouble remembering her titles!
Tiens Marilyn Manson à Tout Le Monde En Parle, ça tombe à pic!
Pis d'abord, moi j'fais juste d'la magie blanche...
Let all the angels protect our words. Amen.

Which Tori Amos Song Are You?
brought to you by Quizilla


J'ai pas pu résister j'y ai soumis l'homme, résultat as baffling! There could be a sense of truth out there! Weird! Where has Mulder disappeared?


Silent All These Years
-Silent All These years-
You're "Silent All These Years" from the "Little
Earthquakes" album. You like to talk about
mermaids and bluejeans and you only want to go
to the heaven where the screams have gone.
You're moderately depressing because you stay
quiet about everything, and when you finally
speak, it's a bit of a suprise.



Un petit blog coquin pour les petites heures du matin, au creux de la nuit...
Le pénis sous multiples formes... Oups!
Juan regarde Marie France chez Ardisson...
Il est éberlué mon ange:
- Avec Gainsbourg! Coluche! Mais par où?

Savoir ce qui constitue un pénis est une question qui reste à débattre.
G.L. Simons

C'est la confrontation avec les autres qui vous permet de dévoiler toutes vos facettes.
Björk

You are red. You are impure, but noble. You are precious and true to yourself and others. When you love, you love entirely, and will do anything to make your love happy. You are sure of your identity, therefore, you cannot change others or be changed. You are a true prince, you may be forgotten, but without you, none of us could go on.

What inner color are you?



Un gros merci aux gentils lecteurs qui ont pris le temps et la peine d'essayer de comprendre le fin mot de "Péché Salé"...
C'est drôle de lire les perceptions de chacun, c'est motivant, ça donne envie de continuer le périple du difficile writing process...
Cela dit, personne ne semble avoir encore mis le doigt sur la petite bête... :)
J'ai toujours pensé dans mon parcours scolaire au sein de l'éducation française là-bas de l'autre coté de l'océan, et ici dans la froidure des hivers, (MDF, Stan, microcosme de grenouilles) que les analyses de textes pouvait être de grosses masturbations mentales, et que les profs parfois essayaient trop de nous faire avaler de grosses couleuvres...

Lorsque j'ai compris ce que j'avais pu représenter dans ce texte, j'étais par terre! Une petite bribe de mon inconscient échappée au grand jour! Horreur! Ok, c'est du troisième degré, mais si je l'explique, ça ressort avec éclat...
Je vous laisse encore macérer avec l'espoir secret que quelqu'un découvre la bibite, morale personnelle de ces mots à découvert!

Je viens de percuter que j'ai une invitation VIP pour le lancement du prochain disque de Polémil Bazar! J'suis dans les patates deep!
Man! j'ai éffleuré la grosse bourde! Jeudi 5 à 7, je compte faire un article sur le groupe pour le prochain Carnet Culturel du Ceula. Faut que j'aille faire mes devoirs, parce-que je l'avoue dans le rush de fin de session, j'ai toujours pas écouté de Polémil Bazar, si ce n'est de ce qui a pu passer à la radio! Yep, i know! Shame on me!!!



Voilà encore une fois j'ai succombé à la tentation du test concon! Mais c'est trop l'fun, comme ouvrir un fortune cookie personnalisé! C'est le même genre que celui que j'ai déja fait avec Tori.
Celui là, je l'ai trouvé on a ghost ship! Y'as-tu que moi pour faire des trucs de même? Suis-je irrécupérable? En espérant de pas abuser de votre patience...

Ce que j'adore là dedans, c'est que la photo vient avec tout son petit code Html, yé! too easy! Un délice pour la microcuspule informaticienne que je suis! Mais bon, j'sais pas j'avais un feeling d'Angelina en le faisant ça doit être la question avec le film préféré, sur la sélection y'avais que celui là qui me branchait! Pis comme je commence à savourer ma fin de session, je vais le refaire, parce-que certaines questions étaient restrictives et certaines de mes réponses étaient multiples...
Entre Angelina et le prochain résultat, à quelle femme étonnante ressemblerais-je le plus? Quel touble de personnalité fait mon quotidien ou encore quelle type de vierge suis-je? Il en a toute une panoplie aussi bizarre, culcul ou retardée sur ce site...
Quelle autre connerie vais-je puiser là au milieu?


angelina
What Amazing Woman Are You Most Like?
brought to you by Quizilla

J'ai décidé d'y aller avec : Where did my soul originate? D'où vient mon âme? Je m'amuse comme une petite folle!!! Juan dort. Il s'est couché tôt dans la nuit, ou le matin! Il a travaillé fort sur son travail d'architecture... Allez un autre! Jamais deux sans trois! Pis d'abord, mine de rien c'est pas plus fou que tout autre chose! Essayez donc pour voir!!! C'est pas si fou, et pas toujours si faux! Un zeste d'ouverture, quelques épices de folie et une casserole de fun!


Where Did Your Soul Originate?
Ancient
You come from an Ancient Civilization. Egypt,
China, Rome... a piece of all the greatest
civilizations of their time can be found in you.

What's You Writing Style?

You are a descriptive writer. An avid reader of
Robert Frost, perhaps, you LOVE to use flowery
words and use the paper and pen as your canvas
and paintbrush. You prefer to paint a mental
image rather than simply toy around with
people's minds. A very inspired person, you
love to be in nature and usually are a very
outdoorsy type of person. A writer with a
natural green thumb, perhaps?




You are Nimue, otherwise known as the Lady of the
Lake. Nimue was seen as both a sorceress and a
goddess, she was very much a free spirit and a
beautiful and powerful enchantress.
Which Lady of Camelot Are You?
brought to you by Quizilla


Bon ok, je calme mes ardeurs Quizilla!!!

Je vais donc éclaircir le fin fond de Péché Salé...
Enfin comme me le fait remarquer Juan, pas de suite, trés bientôt, faut que je me concentre parce-que ma version pourrait être trés mal interpreté coté masculin! Enfin y'a pas gros homme qui papote ici! C'est triste d'ailleurs! Y'en a un ou deux qui passent de temps un temps, mais on papote souvent entre filles! Des hommes, des hommes!!! Si j'en accroche un, et que j'arrive à le faire parler, je serais toute renversée...

Je suis virée du clavier!
Juan doit travailler!
______________________________________________________________________________
Which Infamous criminal are you?

marquis
You are the Marquis Da Sade. Even stripped of exaggerations, Your real life was as dramatic and as tragic as a cautionary tale. Born to an ancient and noble house, you were married (against your wishes) to a middle-class heiress for money, caused scandals with prostitutes and with your sister-in-law, thus enraging your mother-in-law, who had you imprisoned under a lettre de cachet for 14 years until the Revolution freed you. Amphibian, protean, charming, you became a Revolutionary, miraculously escaping the guillotine during the Terror, only to be arrested later for publishing your erotic novels. You spent your final 12 years in the insane asylum at Charenton, where you caused another scandal by directing plays using inmates and professional actors. You died there in 1814, virtually in the arms of your teenage mistress. You are a revolutionary deviant. I applaud you.


Well, that's so much fun! No more Quizilla this week! Juré-Craché!
Juan est parti finaliser son travail en ville, so i’m home alone or cat alone !
Si vous venez régulièrement vous remarquez surement que des changements dans l'odre des posts peut arriver, c'est juste pour que vous ne vous endormiez pas!!!

Péché Salé

Pour ceux qui n'ont pas lu ce texte semi corrosif, voir plus bas! Olive, tu étais la plus proche i guess...
Ainsi, voici le mot de la fin final! Merci de ne pas juger sans avoir lu le texte en question!
Après avoir écrit cette micro nouvelle, un atelier ne dure que deux heures ! J’ai cherché à comprendre comment j’avais pu écrire un truc pareil ! C'est pas mal hard! Et j’ai réalisé…

J’ai réalisé que cette image était la représentation intérieure, l'image relativement correcte que j’avais de l’homme !
J’ai une piètre opinion de la gente masculine en général, cela doit prendre racine dans un abandon paternel en bas age, et les tribulations d’une mère monoparentale, je sais que c’est sculpté par ma réalité à un point. Mais bon, l'idée persiste, comme un cauchemar qui revient les nuits de pleine lune...

J’ai montré dans ce texte, sans m’en rendre compte ce que je pensais des hommes dans le fond de moi même, une réalité sombre, remontée à la surface par le pouvoir magique de l'imaginaire...
Comment je les voyais comme des créatures sans cœur, des créatures qui baisent les femmes qui ouvrent leur cœur, pour mieux les tuer ensuite. Des créatures insensibles aux douleurs, et autres préoccupations féminines qui s’en servent et la jette par la fenêtre. C’est ma version du quand dira-t-on Kleenex : Un homme, une femme, c’est selon, tu t’en sers pis tu jettes !!!

C’est la vision cachée, ma version imaginaire de ces hommes gavés de pouvoir, imbu d’eux-mêmes qui se font sauter la gueule et celles des autres, à coups de bombes aux noms exotiques, sans considérations ou compassions humaines…
De ces hommes qui se nourrissent de contrôle et qui s’adorent dans leurs conneries…
C’est pas cool hein ?!? C’est une profonde tristesse intérieure qui a rejailli au grand jour. Et lorsque c’est rendu là, il faut assumer, comprendre, apprendre, évoluer…

Pourtant Juan est un ange, c’est un mari adorable qui dans ses défauts et ses qualités transcende une extrême bonté. Je réalise qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain ! Pis y'a surement des hommes qui sont persuadés que les femmes sont des putes et des salopes, tout n'est pas tout blanc ou tout noir, je le conçois! Je sais que la solution n'est pas d'intégrer cette vision à sa vie quotidienne! Mais cela semble être le genre de vision dont il est bien difficile de se défaire...

Je souhaite que cette minorité de grands hommes, (comme le mien! :), si différente de ces monstres qui hantent mes cauchemars devienne un jour majorité mondiale…
Je suis consciente que si nous sommes deux sexes sur Terre, l’on doit pouvoir se compléter autrement que physiquement, mais souvent, lorsque je regarde autour de moi, je me demande si c’est réel ou une autre de mes multiples utopies!
L’Homme et la Femme réunis dans un amour sain, existant en équilibre dans une bulle d’harmonie… Un rêve ou une possibilité?

PS: Je tiens à malgré tout a rappeler que c'était une histoire de fiction, qui en rien ne représente la réalité! C'est juste une facette de l'humanité! La fiction, reflet de l'imagination qui cache souvent des idées tordues!


Le silence, ponctué du son de la pluie-grêle sur la terre mouillée, la nuit qui tombe...
Là où le regard se pose un chat somnole, Ptite Crevette se lave sagement... Les bébés de Sumiko têtent doucement sur le divan...
Le bruit de l'ordinateur qui ronronne...
Encore 4 pages à savoir comment se situe Maryse dans la littérature québécoise...
J'suis pas prête!!! J'ai pas l'goût!!!! J'm'en fous!!!!!!!


Chronique de chats…

P’tite sauvage, qui va bientôt avoir un an, tête P’tite Crevette sa maman avec la nouvelle portée !!!
C’est bizarre de la voir au milieu des bébés…
Gaïa a accouché cette nuit, tout seule, comme une grande : 3 mini trucs noirs, encore ! Un tout gris et un noir et blanc ! On ne compte plus le nombre de chats noirs dans cette maison…
Ou dans les placards!


Oyez, oyez...
Je n'étais plus capable des couleurs lavasses et verdâsses! Yerk!
Alors je me suis dédiée, j’ai revu mon Html et tada…

Voilà j'ai changé mon petit domaine! Mon micropuscule univers s'estivale...
C'est l'été à Vol de mots...
Oui! c'est l'été dans ma tête et dans mes rêves...
Même si chez nous, on attend encore le printemps, désespérément...
Mon envie de couleurs et d'été, de chaleur et de lumière est tellement forte, que ça me transporte ailleurs on a beach somewhere in the middle of nowhere...
A little sun, a little love, and dreams, dreams, dreams...
Y'en a qui vont à la plage, moé j'met des couleurs dans ma little vida...


Et vous, lecteur de passage, vous en pensez quoi? Ça vous plait? Ça vous lève le cœur?
J’sais ben que ça change pas grand chose dans votre vie, mais bon! Un avis éclairé me ferait chaud au cœur, ce serait déjà ça vu la froidure qui entoure nos corps, un rien fait du bien… Allez soyez pas timides, exprimez-vous...

Allo? Vous êtes bien sur Vol de mots, laissez voler un message aprés le beep, merci de ne pas raccrocher abruptement... B..e..e...p.......

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire